dimanche 2 décembre 2012






Visuel





 

 

  les dix lettres d’Artaud à Barrault (entre 1935 et 1945), présentées intégralement, que viennent enchâsser divers témoignages épars dans les ouvrages de Barrault. Dans ces lettres d’Artaud, s’exprime son glissement progressif vers le délire.


C’est «le» moment de grand théâtre. La souffrance du poète, de cet homme magnifique, est atroce et la manière pudique, puissante, vraie dont Stanislas Roquette nous la transmet tient du prodige. Le Figaro, Amélie Héliot

Rencontre à l'issue de chaque représentation avec l'équipe artistique

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